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Et si la fermeture des sites porno, c’était pas une perte… mais une chance ?
On parle de liberté, mais combien sont vraiment capables de s’en passer ?
Ce contenu façonne une vision toxique du sexe, détruit la relation à l’autre, pousse à la consommation sans lien, sans amour, sans respect.
Le porno ne libère pas. Il crée des dépendances, éloigne de la fidélité, de l’intimité, de la maîtrise de soi.
Pendant qu’on crie à la censure, des gamins de 12 ans tombent sur des scènes qu’ils ne devraient même pas connaître. Vérifier l’âge, c’est le minimum.
Et si cette pause était l’occasion de reprendre le contrôle ?
Pas pour interdire, mais pour réfléchir.
Parce que si t’es pas capable de t’en passer… c’est pas de la liberté.
C’est de l’esclavage 2.0. 2 replies
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